[17] en outre, aux fins de déterminer l`autorité et la responsabilité de l`avocat, les principes de droit matériel extérieurs au présent règlement déterminent si une relation client-avocat existe. La plupart des devoirs découlant de la relation client-avocat ne s`attachent qu`après que le client a demandé à l`avocat de rendre des services juridiques et que l`avocat a accepté de le faire. Mais il y a certains devoirs, comme celui de la confidentialité en vertu de la règle 1,6, qui s`attachent lorsque l`avocat accepte d`examiner si une relation client-avocat doit être établie. Voir la règle 1,18. La question de savoir si une relation client-avocat existe à des fins spécifiques peut dépendre des circonstances et peut être une réalité. [12] l`autonomie relative de la profession juridique porte avec lui des responsabilités particulières de gouvernement autonome. La profession a la responsabilité de s`assurer que ses règlements sont conçus dans l`intérêt public et non pas dans la poursuite des préoccupations paroissiales ou intéressées du Barreau. Tout avocat est responsable du respect des règles déontologiques. Un avocat devrait également aider à assurer leur respect par d`autres avocats. La négligence de ces responsabilités compromet l`indépendance de la profession et l`intérêt public qu`elle dessert. Les amendements aux Articles 1 (2), 7 et 35 (2), un nouveau chapitre IV A pour remplacer l`article 17 et un nouvel article 2 A ont été adoptés par la CNUDCI le 7 juillet 2006. La version révisée de l`article 7 vise à moderniser l`exigence de forme d`une convention d`arbitrage afin de mieux se conformer aux pratiques contractuelles internationales.
Le chapitre IV A, qui vient d`être introduit, établit un régime juridique plus complet traitant des mesures provisoires à l`appui de l`arbitrage. À partir du 2006, la version standard de la Loi type est la version modifiée. Le texte original 1985 est également reproduit en vue des nombreuses législations nationales basées sur cette version originale. [3] en plus de ces fonctions de représentation, un avocat peut servir de tierce partie neutre, un rôle non représentatif aidant les parties à résoudre un différend ou une autre question. Certaines de ces règles s`appliquent directement aux avocats qui sont ou ont servi en tant que tiers neutres. Voir, par exemple, les règles 1,12 et 2,4. En outre, il existe des règles qui s`appliquent aux avocats qui ne sont pas actifs dans la pratique du droit ou à des avocats pratiquant même lorsqu`ils agissent à titre non professionnel. Par exemple, un avocat qui commet une fraude dans la conduite d`une entreprise est soumis à la discipline pour s`engager dans des comportements impliquant la malhonnêteté, la fraude, la tromperie ou la fausse déclaration. Voir la règle 8,4.
Contenu sage le modèle stratégique, de droit et d`éthique est bon. Très instructif et couvre presque toutes les éthique et lois en termes de produits, marchandises, lois publiques. [18] en vertu de diverses dispositions juridiques, y compris la Constitution, la Loi et le droit commun, les responsabilités des avocats du gouvernement peuvent inclure l`autorité concernant les questions juridiques qui se posent habituellement dans le client dans des relations privées de client-avocat. Par exemple, un avocat d`un organisme gouvernemental peut être habilité, au nom du gouvernement, à statuer sur le règlement ou à faire appel d`un jugement défavorable. Cette autorité à divers égards est généralement investie dans le procureur général et le procureur de l`État dans le gouvernement de l`État, et leurs homologues fédéraux, et la même chose peut être vrai pour d`autres officiers de droit du gouvernement.